Quand la « journaliste » Frida distille des mensonges au public !

Frida Dahmani, lorsque le nivellement tire vers le plus bas,vous m’excuserez de ne pouvoir m’y rendre pour vous rejoindre.. . Lorsque le mensonge gagne en grotesque et grossier, pour faire l’éloge de la diffamation au prix de la vérité, navrant que le journalisme, sens et symbole de la liberté citoyenne, devienne perverti par des faussaires aux motivation obscures et douteuses ….

Sachez que Habib Belhedi est un habitué du ministère des affaires culturelles… que conduit Mohamed Zinelabidine. Il est l’un des nombreux partenaires, acteurs, opérateurs et membres de la société civile, avec qui le ministère compose depuis plus de deux ans sa politique de réforme culturelle. Pas plus tard que vendredi dernier, il a participé en présence du ministre au siège du ministère au débat sur la réforme du cinéma et il y a porté toute sa contribution.

La même semaine dernière, il était au bureau du ministre pour parler théâtre et débattre des préparatifs des XXèmes Journées théâtrales de Carthage dont il est membre actant avec le ministre et le ministère. Vous parlez du « Statut de l’artiste et des métiers artistiques », son texte final a été un travail de nombreux mois de réflexion et d’échange en étroite collaboration aussi avec Habib Belhedi et nombreuses personnes ressources parmi artistes, juristes et associations….sous la conduite de Mohamed Zinelabidine …pour ne citer que ces exemples récents.

Posez à « Haboub » la question( c’est ce surnom que le ministre utilise pour appeler Habib Belhedi), c’est lui même qui vous confirmera toutes ces données. Quelle misère ces mensonges que vous rendez au public! Quelle tromperie que d’avoir à lire autant de contre- vérités! On laissera à des gens plus honnêtes, dignes et loyaux le soin de juger de l’action réformatrice du ministère des affaires culturelles depuis plus de deux ans. Ce n’est pas à moi d’en faire le bilan. Faisons plutôt confiance à des personnes de morale et d’éthique irréprochables, loin des compromissions et des complaisances navrantes et désolantes d’un certain type de journalistes et de journalisme!