« Vous n’aurez plus jamais peur du cancer »

Avid Khayat

« Vous n’aurez plus jamais peur du cancer » : Professeur David KHAYAT, le cancérologue le plus réputé de France, né À SFAX… EN TUNISIE

Hier, je disais (en exagérant beaucoup) : Un jour, il sera possible de DÉJOUER LA MORT !!!…
► J’ajoutais (sans risquer de me tromper) : Commençons d’abord par DÉJOUER LE CANCER… Le Professeur David KHAYAT Y CROIT … FERMEMENT ! LISEZ-LE !!

► Il faut avouer que je suis depuis plusieurs jours « sous le charme » du Professeur David KHAYAT, le cancérologue, NÉ À SFAX… EN TUNISIE, le plus réputé de France.. et dont je suis en train de « dévorer » l’œuvre MONUMENTALE…

Je vous suggère de commencer par celui-ci: « L’ENQUÊTE VÉRITÉ – VOUS N’AUREZ PLUS JAMAIS PEUR DU CANCER »

David Khayat (né le 27 août 1956 à Sfax1, en Tunisie) est un oncologue français. Chef du service d’oncologie médicale de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris entre 1990 et 2017, il est professeur de cancérologie à l’Université Pierre-et-Marie-Curie (Paris VI) et professeur adjoint au Centre médical MD Anderson à Houston au Texas (États-Unis). Il a été élu membre du conseil de direction de l’Américan Society of Clinical Oncology en 20134. Organisateur du Sommet Mondial contre le Cancer à l’Unesco, il est à l’origine de la Charte de Paris contre le Cancer, ce qui l’a conduit à diriger l’Institut national du cancer entre avril 2004 et septembre 2006. David Khayat est le créateur et le président de la Fondation Avec, reconnue d’utilité publique depuis 2013.

A vrai dire, j’ai toujours pensé et écrit que « LA COMMUNAUTÉ JUIVE DE TUNISIE A OFFERT À LA TUNISIE D’ÉMINENTS HOMMES POLITIQUES, DE MÉDECINS, D’AVOCATS ÉMÉRITES, DE CHAMPIONS SPORTIFS DE RÉPUTATION MONDIALE, D’ARTISTES, (musiciens, chanteurs, peintres…) CHARISMATIQUES, D’HOMMES DE LETTRES, DE JOURNALISTES, D’INDUSTRIELS … ILLUSTRES ».

QUELQUES ILLUSTRATIONS :

 Testour – Mais où sont les juifs d’antan ?

Selon les historiens, les juifs représentaient près du tiers des quelque dix mille habitants qui peuplaient Testour, la ville des Andalous Judéo-Musulmans, lors des vagues d’immigration andalouse en Tunisie, au début du XVIIe siècle. A l’époque, Musulmans et Juifs vivaient en parfaite cohésion, à l’instar des Tunisiens de confession musulmane et ceux de confession juive qui coexistent pacifiquement sur l’île de Djerba.

À Testour, les Juifs avaient leur synagogue et un grand cimetière où se trouve inhumée une figure de proue du rabbinat juif en Tunisie, Rabbi Fradji Chaouat, un rabbin très pieux et médecin très respecté par la communauté juive et par les Musulmans. Il mourut vers 1610 à Béja.
On raconte qu’il avait demandé à être enterré, à sa mort, à l’endroit précis où s’arrêterait sa jument qu’on aurait chargé de son corps. Cette dernière avait pris le chemin de Testour, défiant les forces du Bey qui se trouvaient à l’entrée du village. Le récit parle même d’un soldat qui, levant la main pour l’arrêter, avait vu son bras paralysé. La jument ne mit un terme à son voyage qu’à l’endroit où se trouve actuellement la tombe du marabout, au milieu du cimetière juif.
Depuis, des Juifs de tout le pays visitaient Testour à l’occasion de la fête du Kippour pour se recueillir sur sa tombe.
Mais aujourd’hui, Testour ne compte aucun juif, les derniers l’ayant quitté en masse en raison du climat hostile engendré par la crise de Bizerte en 1961 et surtout après la guerre des Six Jours, 1967. Aujourd’hui aussi, la synagogue et le cimetière des Juifs sont dans un état lamentable et ne sont plus visités.
« Le pèlerinage de Testour n’est-il pas aussi important que celui de la Ghriba à Djerba ? », se demande notre « guide », un testourien « en mal de touristes ».
 « L’IGNORANCE EST LE FERMENT DE LA HAINE

« Les juifs Hachakom »
(en dialecte tunisien : « Les Juifs, Dieu vous en préserve ! », « Les Juifs, sauf votre respect »,
« Les Juifs, excusez-moi du terme »).
C’est bien l’expression malheureuse (pour ne pas verser dans l’insulte) utilisée mardi à l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) par la députée de Nidaa Tounes, Asma Abou El Hanane, pendant la lecture du texte du décret loi n°64-3 du 20 février 1964, relatif à l’immatriculation foncière obligatoire, en évoquant les terrains propriétés de Juifs résidents en Tunisie.
► L’«ânerie» (avec tout le respect que nous devons pour cet être vivant, le héros d’un conte allégorique qui doit faire date dans les annales de la littérature tunisienne : j’y reviendrai prochainement), la BOURDE donc n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd : le vice-président de l’ARP, Abdelfattah MOUROU, signifia illico presto à « l’élue du peuple » que la communauté juive a toujours été présente en Tunisie, qu’elle mérite le respect et que ce type de commentaire ne devait plus se reproduire.
► IRONIE DU HASARD: j’étais en train de lire un article publié le 22/06/2014 par un TUNISIEN de confession juive, Dr André NAHUM, Médecin, Écrivain, Conteur, ancien Maire Adjoint de Sarcelles, Chroniqueur, Animateur radio, Chantre légendaire de la mémoire des Juifs de Tunisie… bref, Dr André NAHUM, décédé il y a un peu plus d’un an, est parmi ceux et celles que la COMMUNAUTÉ JUIVE a donné des plus ILLUSTRES. à la Tunisie. PAIX A SON ÂME… SALUONS SA MÉMOIRE.

Habib Trabelsi