L’impasse de tous les débordements
Elle si situe à la rue Ennakhil , juste devant le jardin d’enfants municipal, au nez et à la barbes des édiles de l’arrondissement municipal qui regardent , de la fenêtre, incapables d’agir, de toute l’impuissance des autorités de l’Etat à tous les niveaux affalés sur leurs fauteuils à jouir des avantages sans aucun égard pour les citoyens résidents et riverains et sans pouvoir mettre au chaos devenu institution par des citoyens qui outrepassent leurs droits et empiètent sur ceux de la municipalité et de ses lois.
Trois grosses verrues collées à cette impasse et à la face des responsables de la municipalité.
1- Le restaurant à l’embouchure dont l’entrée de service sur l’impasse , outre son illégalité, suinte de crasse et dégage des odeurs nauséabondes incommodantes.
2-‘l’immeuble de Gauche qui s’approprie tout le trottoir , domaine public municipal, qu’il érige en parking privé l’hiver et dont les appartements inachevés depuis une dizaine d’années , sont loués l’été pour algériens et libyens aux activités douteuses , souvent contraires aux bonnes moeurs et occasionnant des troubles de voisinage
3- L’immeuble de droite lui aissi inachevé qui s’autorise la façade de l’impasse parallèle jouxtant la pharmacie et bafoue tout le derrière sur l’impasse incriminée, pisse comme je pleure sur l’autorité de l’Etat et de la municipalité en lui confisquant à son compte et pour ses interets privés, son domaine public qu’elle a classé zone verte et une large partie de sa voie publique destinée au parking, et s’en va cloturant le terrain devenu une décharge comme si c’était dar bouh envoyant chier, maire, secrétaire général et toute la police municipale et celle de l’environnement réunis.
Fadhi Ch’ghol
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