Le temps serait plutôt aux politicards islamo-compatibles, issus de la gauchiasse péquenaude

Tout à l’heure, lors du discours d’Elyès Fakhfakh, l’évocation du nom d’Ayachi Hammami s’est accompagnée d’un tonnerre d’applaudissements, tandis que celui de Bourguiba s’est prononcé sous de timides applaudissements venus sans nul doute des quelques irréductibles bourguibistes qui siègent à l’Arp.

Comme quoi, le temps n’est plus aux leaders charismatiques capables de transformer quelque peuplade de Berbères arabisés en une nation, ou en un semblant de nation, il serait plutôt aux politicards islamo-compatibles, issus de la gauchiasse péquenaude et dont les têtes sont couvertes de cheveux séparés par une raie au milieu du front.

Pierrot LeFou