La toile s’est littéralement enflammée de cette photo symbole du chat sur l’épaule de l’imam. L’imaginaire populaire arabe , biberonnné à la culture de la défaite depuis l’été des temps en a fait une photo symbole, un miracle.
C’est bien beau de donner au monde cette image d’un islam serein en harmonie avec les humains, la nature et les animaux. Mais n’en faisons pas la feuille de vigne qui cache notre nudité, l’arbre qui cache la forêt de pourriture civilisationnelle en nous, l’ecran noir qui occulte de nos yeux, notre misère, notre pauvreté intellectuelle, notre haine de l’autre différent kafer et la disparition des valeurs d’Humain en nous.
Traduit avec beaucoup de Tasarrof d’un post de Faouzi Abbassi
L’agitateur
P.S. de l’humble traducteur que je suis :
Imaginez si un chien s’était accroché au jelbab du cheikh au lieu du chat.
Ce serait toute une autre histoire toujours selon le même imaginaire de nos populations arabo-msulmanes.