Que dire de ce match exhibition en terre d’Islam sinon que Ons Jabeur a écrit une nouvelle page de l’histoire de cette religion.
J’ai rattrapé le match au milieu du deuxième set. Au delà de la prestation tennistique des deux joueuses que même le prophète et ses compagnons ont dû apprécier et applaudir de là haut, , j’ai vu un beau court en dur en terre sablonneuse du désert, deux belles gazelles aux cuisses galbées et dénudées qui sautillaient sur la terre sainte d’islam. Deux belles athlètes qui implantaient la modernité et la lumière en terre obscure d’islam. Introduisaient en terre sainte d’islam , un tennis réservé aux cercles des grandes nations développées des koffars.
Et puis ce public ravi d’hommes et de femmes côte à côte qui se touchaient presque en terre d’islam où le 7arim est sacré. Conquis, émerveillés applaudissant Ons Jabeur, la découvrant, l’enviant, rêvant de faire comme elle loin de ces waha-bites, de ces barbes, libérées de ces interdits qui ont dilapidé et décapité la spiritualité en terre d’Islam.Se demandant comment cette Tunisie , sans petro dollars et sans rien , s’impose à nous par ces compétences médicales dans nos hôpitaux, par ses enseignants dans nos universités et par Ons jabeur dans nos courts de tennis pour nos événements sportifs organisés pour épater le monde.
Non ! Ons Jabeur n’a pas fait un simple match exhibition en terre d’Islam. C’est une faiseuse d’histoire. Elle a contribué hier à ouvrir et écrire une nouvelle page de l’islam.
L’agitateur