Après la politique halal, l’habit halal, l’hôtel halal, on découvre le football halal. Lors de la dernière coupe en Russie du monde, ce mètre carré de Chair Maaloul s’est approprié l’avion, les commandes vocales les hôtesses et se faisait filmer, tapis volant en tête, pour nous réciter la prière du Safar, l’invocation du voyage
Hier la femme du nouveau mètre carré de chair en charge de l’équipe nationale, jalel kadri devenu entraîneur bi 9odrati 9ader, nous apprenait que son male souffrait et passait ses nuits à faire salat el istikhara, celle, au cours de laquelle, Allah devait lui indiquer les 23 joueurs à emmener au Qatar ( lire ci-bas ).
Plus dieux que Dieu lui-même, ces footeux bigots , plus imams qu’entraineurs de football, ont ceci de propre qu’ils sont perfectionnistes dans ces conneries puisées chez ce tout faux bou khari, mais s’en foutent de tout le reste. Comme leur employeur Jarii, ce vendu à Qatar. Il peuvent accepter un football de merde, un sport de merde où aucun terrain n’est valable, une compétition tout autant merdeuse, ne rien dire sur la corruption su championnat, les violences, la saleté, le culte de la fidélité au jarw, mais gonflent leurs plumes dès que vous parlez de la religion qui leur appartient à eux , tous seuls dans son unicité divine.
C’est alors que ces cons payés par nous font de nous le kafer idéal, l’ennemi de la nation, le nabbar contre l’équipe nationale. On vous le lance à partir de Qatar où généralement on s’y installe pour y entraîner ou pour y faire le khraniqueur ou pour encore y jouer en garantissant une place de titulaire indévissable comme Msakni qu’aucun entraîneur n’ose écarter, fusse t il Faouzi Benzarti qui a été écarté à la veille du mondial de Moscou malgré ses 4 victoires, parce que ce joueur ne défendait jamais et ne rentrait pas dans ses plans de jeu.
Tous des ta77anas et des meuniers de Qatar et des Islamistes.
« Faut-il détester ces gens ou les moquer, se pose la question kamel Daoud ? Non, ils sont aussi nos reflets. Le signe clinique de la maladie de nos âmes, à tous. La preuve d’une inquiétude pathologique face au réel de notre impuissance dans tous les domaines et même dans le football que n’a jamais connu et encore moins pratiqué Sahih el Boukhari ou ettirmidhi ou encore Abou hourayra.
Nous allons à Qatar pour botter en touche le ballon et le remplacer par Allah dans nos crânes. Nous n’allons pas jouer au foot, nous allons courir un 100 mètres vers la Qatarstrophe.
L’agitateur