Elle vit aux Etats-Unis durant toute l’année, elle est tatouée comme un hooligan polonais, elle se prend en photo dans des positions suggestives, comme si elle venait d’avaler un seau rempli de figues de barbarie, sa sœur monnayait ses charmes au Caire, son mec est dans le trafic des cartes bancaires… Et, ensuite, elle vient nous emmerder avec ses points de vue issus de la cancel culture et en prenant la défense des Tunisiennes qui veulent porter le burkini dans les hôtels ! C’est un peu l’hommage du vice à la vertu. Azza Slimani, tais-toi quand tu parles !
Pierrot LeFou