Fadhel Abdelkéfi est une chléka qui se croit promise à un destin national

Fadhel Abdelkéfi a la manie de se confondre en justifications oiseuses à chaque fois qu’il prend pour exemple un pays occidental pour illustrer ses propos. A chaque fois qu’il cite un pays comme la France, il se prête dans l’instant qui suit à quelque argutie pour ne pas passer aux yeux du Tunisien moyen pour un bourgeois occidentalisé, étranger, voire hostile au paradigme identitaire fondé l’arabité et l’islamité, donc sur l’affirmation du « soi authentique »… L’affront suprême sous nos cieux !

Comme tous les Tunisiens qui n’assument pas leur francophonie et qui en ont un peu honte, Fadhel Abdelkéfi précède toujours les expressions qu’il prononce en français par « comme disent les Français… ». Il fait la même chose lorsqu’il reprend à son compte une citation d’une figure historique française comme de Gaulle (puisque, de nos jours, tout le monde est devenu gaulliste).

Il s’agit, en réalité, d’une faible personnalité qui est incapable de jouer le rôle auquel elle aspire, une chléka qui se croit promise à un destin national, alors que Fadhel Abdekéfi est un pleutre qui n’aurait jamais dû trop s’éloigner de la qualité qui lui sied le mieux : l’anonymat.

C’est juste un bon technocrate qui veut péter plus haut que que son cul, malgré un charisme similaire à celui d’un pot de yaourt, sans plus.

Pierrot LeFou