Hichem Djaït estime que le dernier ouvrage de Hela Ouardi, Les califes maudits, est une escroquerie intellectuelle. Professeur Djaït est, sans l’ombre d’un doute, un de nos plus grands historiens, néanmoins il s’est toujours plu à prendre tout le monde de haut. Même s’il a à son actif des ouvrages fort intéressants, tels que La grande discorde et La vie de Muhammad, sa fatuité et son ego surdimensionné le rendent antipathique.
Comme madame Ouardi apparaît souvent dans les médias et ses livres sont des best-sellers, elle lui fait de l’ombre et devient une concurrente indésirable dans sa chasse-gardée. Et le Professeur s’en offusque. Décidément, la vieillesse est un naufrage.
P.-S. : Il est toujours bon de rappeler que, quelques années plus tôt, Tartour Moncef Marzouki jouissait d’une certaine faveur auprès de monsieur Djaït.
Pierrot LeFou
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