Voilà ! C’est la version la plus plausible, c’est celle que j’avais déjà entendue quelques jours après leur exécution. Abou Hamza Ettounsi et Abou Anas Ettounsi ont balancé tout ce qu’ils savaient sur eux, notamment sur Sofienne Chourabi. L’affaire de la consommation d’alcool durant le mois de ramadan et le discours revendicateur de Sofienne Chourabi leur ont été fatales. Les Tunisiens devraient, maintenant, fermer leur sale gueule car ils se sont bien réjouis, quelques années auparavant, à l’annonce de la condamnation de Sofienne Chourabi pour ivresse sur la voie publique et atteinte à la pudeur. On ne peut pas partager avec ces barbus tarés les mêmes croyances, les mêmes dogmes, les mêmes sourates que l’on trie, interprète, épure, édulcore à sa guise pour se sentir moderne et être en paix avec sa conscience et pleurer la mort de Sofienne et Nadhir.
Pierrot LeFou
Regardez et écoutez