Signez la pétition pour la Dissolution l’Union internationale des savants musulmans-Tunisie (Al-Qaradawi)

L’Union Internationale des savants-Tunisie, est l’antenne de l’Union Internationale des Oulémas musulmans. Cette organisation a été inaugurée par Youssef Al-Qaradawi en personne, le 6 mai 2012 lors de sa fameuse visite polémique en Tunisie. Le bureau de Qaradawi de Tunisie est dirigé par le Nahdhaoui Abdelmajid Najjar.

Cette organisation internationale a, donc, vu le jour en Tunisie pendant la période de gouvernance de la Troïka sous domination d’Ennahda et sous le gouvernement Hamadi Jebali un nahdiste de souche.

Youssef Al-Qaradawi est d’origine Égyptienne mais déchu de sa Nationalité pour son extrémisme et son radicalisme religieux. Il est actuellement exilé au Qatar d’où il a obtenu la nationalité.

Youssef Al-Qaradawi prone des idées anti-démocratie puisqu’il prône la charia comme la référence de l’organisation sociale, politique, juridique…etc des États musulmans.

Youssef Al-Qaradawi pour l’excision des femmes

Anti-droit de la Personne et de la femme. Youssef Al-Qardaoui défend l’usage de la violence d’un mari envers sa femme : Il lui est permis de la battre à la main

Il s’est permis à travers son organisation en Tunisie à se mêler de notre affaire interne et s’opposer aux propositions de Béji Caid Essebsi pour renforcer les droits des femmes et en particulier les droits sur l’héritage.

Il veut à travers Ennahda et son bureau à Tunis, attaquer la femme Tunisienne, brimer ses droits, enlever sa liberté et la réduire à rien

Il s’attaque directement à un acquis important qui est le code du statut personnel qui garantit la liberté de la femme tunisienne et lui donne les outils juridiques pour se défendre et vivre librement. Qaradhawi considère que le Code de Statut Personnel est « contraire à la législation islamique en ce qu’il prohibe la polygamie et autorise l’adoption », écrit-il dans son livre susmentionné

Contre la liberté des cultes. Il forme chaque année une centaine d’élèves. Elle s’adresse à tous, y compris aux classes populaires, et serait fréquentée par des retraités, des femmes au foyer, des cadres de la fonction publique, des médecins, des avocats et quelques étudiants. Les propos de Fatma Chkout, sa vice-présidente, affirmant que des agents de la sûreté et des militaires y ont étudiés contre la laïcité et considère que la religion doit être la base de l’état

Youssef Al-Qaradawi soutient ouvertement les mouvements terroristes, il les finance, il leurs offre les soutiens logistiques, la formation et les objectifs à atteindre.

Al-Qaradâwî est président de la Union of Good (« UG »), une coalition d’organisations caritatives islamiques soutenant les activités de terrorisme. Cette organisation a été désignée comme organisation terroriste par le Département du Trésor américain en 2008.

Elle a été aussi, en décembre 2014, l’Union internationale des savants musulmans (International Union of Muslim Scholars) dirigée par Al-Qaradâwî a été expulsée du International Islamic Council for Da’wa and Relief, une organisation humanitaire islamique basée au Caire au motif que l’UG « mêle la religion à la politique et soutient le terrorisme. »

Le Consortium Againt Terrorist Finance a également soutenu qu’en 2010, Al-Qaradâwî était président du conseil de surveillance de la charia de la Banque islamique du Qatar. Cette dernière est l’une des plus importantes banques islamiques et entretient des relations controversées avec des organisations soupçonnées de financer le terrorisme au Moyen-Orient.

Al-Qaradâwî est un ancien conseiller-charia et actionnaire de la Banque Al-Taqwa, qui fut jusqu’en 2010 inscrite sur une liste dressée par les États-Unis et l’ONU des organisations ayant financé l’organisation terroriste Al-Qaïda.

Al-Qaradawi a soutenu des actions terroristes à travers le monde y compris dans des pays musulmans, chez nous en Tunisie, en l’IRAQ, la Syrie, la Libye et plusieurs autres pays.

Le 21 février 2011, lors de la guerre civile libyenne, il émet une fatwa appelant à assassiner et lyncher Mouammar Kadhafi.

En 2013, Youssef al-Qaradâwî appelle les musulmans sunnites à rejoindre les rangs des rebelles en Syrie et fustige le Hezbollah, qu’il qualifie de « parti de Satan »

Dans sa dernière fetwa, il cite l’ensemble des pays musulmans, dont la Tunisie, la Libye, l’Afghanistan et le Pakistan. Le «cheikh» a invité les jeunes de ces pays à «se révolter et à se joindre au djihad en Egypte».

Pour Qaradhawi, la Tunisie est un terrain propice pour propager les idées de l’UISM

Au niveau de son organisation en Tunisie elle forme chaque année une centaine d’élèves et s’opposant complétement à la loi et au système éducatif de l’État créant un système parallèle dans l’illégalité. Elle forme des antis-Tunisie, des rebelles capables de s’exploser n’importe où, n’importe quand et n’importe comment.

Impliqué dans les événements de l’école errgab et les exactions commises sur les enfants

Le but de cette organisation en Tunisie n’est pas de moderniser la vie des musulmans Tunisiens mais d’islamiser la modernité, la réduire la rétrécir au maximum et ceci en contradiction à la démocratie, à la liberté et aux droits des personnes.

Al-Qaradawi et Ennahda ont un lien de sang. En plus des attentats sanglants, c’est à Londres, où le chef d’Ennahdha se trouvait en exil, que l’UISM a été fondée en 2004, avant que son siège ne soit transféré à Doha en 2011. Ghannouchi en a d’ailleurs été le vice-président et le secrétaire général adjoint. Il a ensuite continué à participer à ses réunions, au Qatar, et passait pour le successeur de Qaradawi jusqu’à ce que le Marocain Ahmed Raïssouni ne prenne la tête de l’UISM, en 2018. En 2017, le service de communication du « cheikh » avait néanmoins affirmé que ce dernier avait quitté l’UISM pour se consacrer à la politique intérieure tunisienne.
Des leaders d’Ennahdha ont activement œuvré à l’installation du bureau d’Al-Qaradawi en Tunisie après la révolution de 2011. C’est le cas de Lotfi Amdouni Imam à la mosquée Salmen Ferci d’El-Kabaria

Cette organisation terroriste avec Ennahda et el karama partagent la même idiologie et les mêmes objectifs en Tunisie: islamiser le pays, faire du charia la loi de référence juridique, politique, économique et sociale.

Aujourd’hui il et plus qu’évident que cette organisation veut nous imposer des valeurs qui nous sont étranges, des valeurs incompatibles avec l’islam de nos ancêtres, un islam tolérant, ouvert, souple, qui pardonne et qui ne juge personne.

Al-Qaradawi et son organisation veut en finir avec les acquis sociaux, de démocratie, de liberté et de droit car ils ne sont pas dans leur intérêt.

Cette organisation est un danger réel pour la stabilité de notre pays et nos concitoyens. Il est urgent d’agir et mettre fin à ses activités.

Nous demandons.

L’arrêt immédiat des activités de cette organisation, sa fermeture et sa dissolution. Aussi nous demandons le gel de ses avoirs (en bien matériels et financiers). Nous demandons également l’arrestation de ses dirigeants.

Si vous soutenez cette pétition cliquez sur ce lien pour la signer