Ce jeudi 16 janvier, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a accusé le Hamas de revenir sur certains points de l’accord de cessez-le-feu dans la bande de Gaza, et annoncé que son gouvernement ne validerait pas l’accord tant qu’il n’aurait pas reçu l’assurance que le groupe palestinien les a acceptés.
Après l’annonce de l’accord de cessez-le-feu annoncé mercredi 15 janvier entre Israéliens et Palestiniens, Benjamin Netanyahu accuse ce jeudi 16 janvier le Hamas de provoquer « une crise de dernière minute ».
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a accusé ce jeudi 16 janvier le Hamas de revenir sur certains points de l’accord de cessez-le-feu dans la bande de Gaza, et a annoncé que son gouvernement ne validerait pas l’accord tant qu’il n’aurait pas reçu l’assurance que le groupe palestinien les a acceptés.
Alors que l’accord devait entrer en vigueur dimanche 19 janvier, le Premier ministre qatari Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani avait annoncé les premiers contours de ce cessez-le-feu en trois phases.
Le cabinet de sécurité israélien ne se réunira pas
Alors qu’il devait se réunir dans la matinée pour valider l’accord qui avait été annoncé mercredi 15 janvier, le Premier ministre israélien a annoncé qu’il n’y aura pas de réunion. « Le Hamas renie des parties de l’accord conclu avec les médiateurs et Israël pour essayer d’extorquer des concessions de dernière minute« , a déclaré Benjamin Netanyahu dans un communiqué.
« Le cabinet de sécurité israélien ne se réunira pas (en vue d’approuver l’accord) avant que les médiateurs aient notifié Israël que le Hamas a accepté tous les éléments de l’accord« , ajoute le texte. Le Hamas s’est engagé à respecter l’accord annoncé mercredi par les médiateurs, a réagi un haut responsable du groupe palestinien, Izzat el Rechik.