Jalel Brick, un vendu et une pourriture de la pire espèce

Je défends, depuis 2011, Jalel Brick avec beaucoup de ferveur, appréciant son franc-parler qui ne plaît guère aux pudibonds et son hostilité à l’islam et aux ‘. Mais l’enregistrement qui circule depuis tout à l’heure sur Facebook ne laisse subsister aucune ambiguïté quant à sa véritable nature : c’est tout bonnement un vendu, une pourriture de la pire espèce.

Dans cette vidéo devenue virale, Jalel Brick était entouré de Tunisiens qui font pression sur Kaïs Saïed à partir de Paris en diabolisant l’image du président tunisien et en le présentant comme un sanguinaire putschiste. Jalel Brick se trouvait aux côtés d’Oussama « Dumbo » Khélifi, de Zied El Hechmi (la tête de nœud de la Coalition ) et d’islamistes qui portaient au cou des affiches à l’effigie de l’inénarrable Seïf Eddine Makhlouf, Grand Avocat des jihado-terroristes devant l’Eternel et député islamiste radical traduit en justice pour outrage et menaces à l’encontre d’un magistrat et pour violence sur des agents de l’aéroport Tunis-Carthage après avoir voulu faire quitter de force une personne interdite de sortie et fichée S17.

J.B. n’a cessé de chanter pouilles aux Emirats, à l’Arabie Saoudite et au président égyptien Sissi. De ce fait, il s’est aligné sur la politique de l’axe turco-qatarien qui s’oppose farouchement aux pays susmentionnés. Les enturbannés l’ont probablement soudoyé, ils ont dû jeter quelques sous dans son chapeau. A mon humble avis, les Etats-Unis ne doivent pas désapprouver ces contestations des Tunisiens de France – ou plutôt de certains Tunisiens de France – qui s’élèvent régulièrement contre Kaïs Saïed car Jalel Brick les a bien ménagés dans son discours et ce n’est pas dans ses habitudes.

L’« âme du peuple » (une âme sans âme, soit dit en passant) est apparu aujourd’hui sous son vrai visage, celui d’un mercenaire pourri jusqu’à la moelle, d’un faux jeton sans foi ni loi, dénué de scrupules et prêt à tout pour quelques pétrodollars. Maintenant qu’il est passé dans le camp des ennemis les plus acharnés de la Tunisie, il ne nous reste plus qu’à lui administrer une volée de bois vert, à lui cracher dessus et à l’expédier aux chiottes. Définitivement. Pour moi, Jalel Brick est mort aujourd’hui. Et sa résurrection ne sera pas du tout évidente, sinon impossible. Décidément, en tout gaucho tunisien sommeille un traître.
Bref, Jalel Brick est une chléka .

Pierrot LeFou