Le Coran est la parole de Dieu !?

Croire que le souffle de l’humanité logera un instant dans la tête d’un arabo-islamiste ou que l’idée de la démocratie et du respect de la dignité humaine effleurera un jour son esprit équivaut pour le scientifique de penser qu’une greffe de la tête est possible.

À force d’apprendre aux arabes, parce que nés musulmans, qu’ils doivent se montrer majestueux jusqu’à devenir ignominieux, méchants et ridicules, ils se montrent plus révoltés à la vue d’un vin ou d’un civet servi à leur compatriote dans un restaurant européen que choqués par la réalité piteuse de leurs pays d’origines : échecs nationaux continuels, guerres intestines, pendaisons et décapitations, génocides, corruption tous azimuts, coercitions sans adjectifs sur un fond de misère sociale. Ils ne sont pas gênés qu’ils soient craints par l’humanité révulsée par les actes barbares commis par leurs semblables qui tuent et s’entre-tuent sans distinguer la déchéance de leur « Ouma » réduite à une survivance pitoyable des plus rétrogrades. Et si le Coran est la parole de Dieu, ils pensent idiotement que le mérite leur revient jusqu’à tuer sans distinction d’âge ni de sexe. Il faut être frappé de cécité pour ne pas remarquer l’aplomb avec lequel ils dévisagent -dans des pays qui ne sont pas les leurs- ceux qui ne partagent pas leur religion dont ils font une affaire de nationalité ethnique, dynastique et linguistique. Ils se considèrent super puissants parce que les failles dans la littérature poltronne des démocraties occidentales leur permettent des rassemblements aux bourdonnements haineux à Oslo, à Copenhague, à Londres ou à Munich. L’islamiste est passé maître dans l’art de profiter de la générosité de l’hôte qui le reçoit pour au final, assassiner ses enfants en guise de gratitude. Pourtant, les trois dernières décennies sont riches en enseignements, la tolérance à leur égard sous prétexte des hautes vertus de la démocratie et de la liberté d’expression est un vœu de pleutrerie, car, elle construit indéniablement leur passerelle idéologique vers la violence. Qu’ils tentent un rassemblement aux cris de haine à Saint-Pétersbourg ou à Moscou, là, ils connaîtront la riposte qui leur sied.

Djaffar Benmesbah

Mon respect au croyant (musulman, juif ou chrétien) qui se démarque de la politisation de la foi.