Rigolons…même jaune

Un ami me dit :

– La CONFUSION qui règne dans l’Institution Suprême de l’État depuis l’investiture de Kaïs SAÏED . Une confusion pour le moins problématique, surtout qu’elle est nourrie par le MANQUE sinon l’ABSENCE D’INFORMATION FIABLE et par les RUMEURS– ne vaut que parce qu’elle nous arrache un SOURIRE…. RIEN DE PLUS !!! ».

• Je lui réponds :
– « ‘Rien qu’un SOURIRE’ ?… Mais ce n’est pas une mince affaire l’ami,… Surtout en ces temps maussades !!!. Ne sais-tu pas que le SOURIRE, et encore mieux le RIRE, a des vertus thérapeutiques ??? ».
Puisque tu sembles ne pas aimer les histoires drôles, je te raconte celle de Norman Cousins, un journaliste américain bien connu, rédacteur en chef de la Saturday Review…. Il l’a racontée lui-même dans son livre « Comment je me suis soigné par le rire » :

👉 {{ En 1964, ses médecins lui apprirent qu’il était atteint de spondylarthrite ankylosante. C’est une maladie incurable de la colonne vertébrale provoquant des douleurs dans le bas du dos et un raidissement articulaire. Tendons, ligaments et articulations se recalcifient. À terme, les vertèbres ne forment plus qu’un seul bloc…
Cette maladie est très douloureuse, mais n’a pas de traitement à part des antidouleurs, dont les effets secondaires peuvent être redoutables.
Norman Cousins raconte même que ses médecins ne lui donnaient pas 1 chance sur 500 de survivre.
Confronté à ce sombre avenir, Norman Cousins se lança dans ses propres recherches.
Il avait en effet une formation médicale, ayant été professeur adjoint à l’Ecole de Médecine de l’UCLA, et il fit trois choses absolument contraires à l’avis de ses médecins.
1 Prendre de la vitamine C à haute dose
2 Quitter l’environnement anxiogène de l’hôpital
3 REGARDER DES FILMS COMIQUES: Il se procura un projecteur et un stock de films comiques, dont de nombreuses « Caméras cachées » et des films des Marx Brothers.
Durant sa première nuit à l’hôtel, il rit tellement en regardant ces films qu’il parvint ensuite à dormir plusieurs heures sans ressentir de douleur.
Le rire avait stimulé sa production d’endorphines, des produits chimiques aux effets anesthésiants fabriqués naturellement par le corps. Lorsque la douleur se réveillait, il remettait les films en route et, après avoir bien ri, parvenait de nouveau à s’endormir.
Cousins raconte qu’en mesurant sa vitesse de sédimentation, un des examens de routine effectué au cours d’un bilan sanguin et qui permet de mesurer l’inflammation et les infections, il observa que son taux diminuait de 5 points chaque fois qu’il regardait un de ces films}}

Rigolons donc , rigolons …même jaune 

Par Habib Trabelsi