Seif Eddine Makhlouf ne sert qu’à nettoyer la cuvette des chiottes de l’ambassadeur de France

« Si l’Ambassadeur de France m’adressait une invitation, je la déclinerais à coup sûr » a déclaré tout à l’heure le sulfureux avocat des terroristes, Seïf Eddine Makhlouf, sur les ondes d’une radio privée populacière, Ifm pour ne pas la citer. Cette déclaration me rappelle le geste qu’a fait Djamel Debbouze avec Laetitia Casta, lors de son passage dans l’émission Nulle Part Ailleurs – Spéciale Cannes, dans les années 1990 :

Djamel a repoussé le bras du célèbre mannequin – qui, à l’époque, était au faîte de sa carrière – après avoir réclamé une accolade amoureuse. Le but de cette « rebuffade » était de donner l’impression qu’elle lui courait après. Il s’agissait, bien entendu, d’une pitrerie de la part de Djamel Debbouze et Laetitia Casta s’était laissée prendre au jeu.

Si l’Ambassadeur de France adresse un jour une invitation à Seïf Eddine Makhlouf, ça sera pour lui foutre une brosse entre les mains et lui demander de nettoyer la cuvette des chiottes ; d’autant plus que maître Makhlouf sera en contact avec des matières qu’il vomit abondamment à chacune de ses apparitions merdiatiques, des matières qui constituent la totalité de son patrimoine génétique et culturel. Il est à croire que cet excrément du genre humain utilise les défécations des rats sauvages comme bain de bouche et se lave, chaque matin, le visage avec les résidus fécaux d’un grand buveur de café express-allongé.

Cet avocaillon au teint khraoui cache ses complexes, ses frustrations, ses rancœurs et ses jalousies maladives derrière une arrogance hautaine et une antipathie des plus prononcées. D’aucuns n’auraient jamais dû sortir de leur condition de culs-terreux. Contrairement à ce que prétend Makhlouf, le virage vers la dictature n’a pas été la grande erreur de Bourguiba. Sa grande erreur a été de démocratiser l’enseignement et de permettre à des rats aigris d’accéder aux fonctions les plus prestigieuses, si tant est que l’on puisse encore parler de « prestige » dans ce pays…

Pierrot LeFou